La violence institutionnelle sur les femmes victimes de violences conjugales et intra-familiales

Publié le par Témoin de la Folie

C'est l'heure de prendre un somnifère...

Cage thoracique oppressée, vertige, fatigue sans sommeil, coeur qui cogne contre la poitrine. Je ne sais plus comment retrouver le calme face à toute situation réactivant le passé...J'ai été consulter un nouvel avocat. J'ai ouvert la boite de pandore.

Une ado ancien enfant témoin/victime de violences conjugales et accusations abusives par système projectif de l'adolescent "traumatisé" (2016). Placement par raccourci abusif de l'hôpital, auquel je ne me suis pas opposée. L'ancien beau-père violent connait l'assistante sociale de cet hôpital "- comme par hasard". Enquête d'un organisme qui aurait dû se dessaisir. 

Un ex-harceleur, qui abuse de sa fonction, de manière lâche et éhontée, parce qu'il est obsédé par une relation morte et enterrée. 

Une indemnisation non demandée à cause du phénomène d'emprise. 

Une difficulté d'action à cause de la flemme de remettre le nez dans mes archives.

Une terreur entretenue par une mère complément folle.

Une avocate la plus salope que j'ai jamais rencontré qui se la joue "Chanel" avec ses clients (choix sélectif de clientèle) avec un discours type "passe ou trépasse" mais aussi nulle et de mauvais goût que son vernis a ongle. Je n'ai eu que pour défense, "je ne cautionne pas l'attitude de ma cliente"...

Je fatigue, je subis le trauma. Je reste bloquée dans le temps et j'emmerde ceux qui m'emmerde. Je rentrerais jamais dans le système et j'en suis fière. 

Mais parlons du système...

 

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